Commission de l’UE : Femina Europa défend les droits de l’enfant Reviewed by Momizat on . Femina Europa répond à une consultation de la commission sur les droits de l’enfant  La commission européenne a souhaité recueillir les avis de la société civil Femina Europa répond à une consultation de la commission sur les droits de l’enfant  La commission européenne a souhaité recueillir les avis de la société civil Rating: 0
Vous êtes ici:Accueil » Vie » Santé / Bioéthique » Commission de l’UE : Femina Europa défend les droits de l’enfant

Commission de l’UE : Femina Europa défend les droits de l’enfant

Femina Europa répond à une consultation de la commission sur les droits de l’enfant

 La commission européenne a souhaité recueillir les avis de la société civile, afin de définir une stratégie globale des droits de l’enfant pour l’Union Européenne (UE), dans les années à venir. Il était important que les femmes catholiques fassent entendre leur voix sur ce sujet, compte tenu des problématiques nouvelles engendrées par le florissant marché de la procréation. Celui-ci participe en effet de la culture du relativisme, dénoncée par le pape François dans Laudato Si (LS), considérée comme une « pathologie qui pousse une personne à exploiter son prochain et à le traiter comme un pur objet» (LS §123)

Ainsi Femina Europa a rappelé que la stratégie de l’UE devait s’appuyer sur des fondamentaux :

  • il n’y a pas de droit à l’enfant, mais des droits pour l’enfant
  • le droit pour chaque enfant de connaître ses parents biologiques doit être réaffirmé. La filiation ne peut pas être subjective, résultant de la seule volonté des adultes. C’est une question de dignité humaine et de justice.

Femina Europa a invité la commission européenne à inclure aussi dans sa stratégie :

  • une interdiction totale de la pratique de la GPA (Gestation pour autrui) pour que la lutte contre le trafic humain ne soit pas lettre morte. La GPA compromet la dignité des femmes (essentiellement les femmes pauvres) et de leur enfant en en faisant des marchandises, objets de contrat : c’est une nouvelle forme d’esclavage qui ne dit pas son nom.
  • une meilleure protection des enfants contre la pornographie et l’exploitation sexuelle, spécialement dans les médias (TV, réseaux sociaux, plateformes videos Netfix, YouTube.. )

 

Notre déclaration a été publiée sur le site de la Commission européenne:

https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/12454-EU-strategy-on-the-rights-of-the-child-2021-24-/F540872

 

Laisser un commentaire

Retour en haut de la page