Le gender
Le concept
- Quelques définitions du gender
-
- La définition de l’OSAGI ( Office of the Special Adviser on Gender for the United Nations)
Gender : Refers to the social attributes and opportunities associated with being male and female and the relationship between women and men and girls and boys, as well as the relations between women and those between men. These attributes, opportunities and relationships are socially constructed and are learned through socialization processes. They are context/ time-specific and changeable. Gender determines what is expected, allowed and valued in a women or a man in a given context. In most societies there are differences and inequalities between women and men in responsibilities assigned, activities undertaken, access to and control over resources, as well as decision-making opportunities. Gender is part of the broader socio-cultural context. Other important criteria for socio-cultural analysis include class, race, poverty level, ethnic group and age. (Conférence de l’ONU, 1995, Pekin)
Création d’une nouvelle entité en janvier 2011: « ONU Femmes ».
ONU FEMMES est une organisation transversale qui fusionne quatre composantes jusqu’à présent distinctes du système des Nations Unies : la Division de la promotion de la femme (DAW) ; l’Institut international de recherche et de formation pour la promotion de la femme (INSTRAW) ; le Bureau de la Conseillère spéciale pour la problématique hommes-femmes (OSAGI) ; le Fonds de développement des Nations Unies pour la femme (UNIFEM)
ONU Femmes, basée à New York, procurera un appui aux organisations et réseaux de femmes et sera opérationnelle en janvier 2011 avec un budget de 500 millions de dollars.
Elle supervisera tout ce qui concerne « l’égalité de genre et l’autonomisation des femmes », et sera dirigée par Michèle Bachelet, ancienne présidente du Chili, sous l’autorité du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon.
-
- Judith Butlerdans Gender Trouble : Feminism and the Subversion of Identity, Routledge, New York, 1990
Le « genre » est une construction culturelle ; par conséquent, il n’est pas le résultat du sexe et il n’est apparemment pas non plus déterminé comme le sexe.
-
- Cristina Delgado dans Rapport sur la Conférence Régionale de Mar del Plata, Argentine
Ces constructions sociales sont sujettes à changement. Ainsi l’inexistence d’une essence féminine ou masculine permet de rejeter la soi- disant « supériorité » de l’un ou l’autres sexe et de se demander dans quelle mesure il existe une forme « naturelle » de sexualité humaine.
- Décryptage du gender par Fémina Europa
D’après la définition de l’OSAGI, l’organisme onusien chargé de mettre en place la politique du Gender, c’est le comportement sexuel socialement construit et non pas la physiologie qui définirait l’identité de l’homme et de la femme. Il n’existerait donc plus de genre homme et de genre femme mais des personnes hétérosexuelles, homo, bi, trans et lesbo….
Le Gender est abusivement traduit en français par le terme genre qui veut dire sexe et non sexualité. Il est souvent assimilé en France à la parité homme/femme ce qui n’est pas la même chose.
Là où le Gender passe, la famille …trépasse. En effet le Gender est l’antithèse de la famille car celle-ci est fondée sur l’altérité, la fécondité et la fidélité tandis que le Gender est narcissique, stérile et fluctuant; une même personne pouvant adopter plusieurs identités à la suite au fil de sa vie. Le Gender est de l’ordre du désir là où la famille est de l’ordre de la volonté. Le Gender isole là où la famille relie. Le Gender déconstruit là où la famille construit.
Gender et société : les champs d’application
- Santé: droit à disposer de son corps, droit à la santé reproductive (=avortement)
- Rapports Homme/Femme: déconstruction du mariage comme survivance de l’union hétérosexuelle qui maintient la différence Homme/Femme. Il faut obtenir le mariage pour tous les couples.
- Ethique/ Bioéthique: droit à l’enfant, MPA (mère pour autrui), manipulations génétiques…
- Famille: la déconstruire, car la femme y est maintenue en esclavage et conditionne les enfants. Fragilisation par le divorce, le PACS, la réforme de la filiation (parentalité…) On parle alors de famille monoparentale, homoparentale, pluriparentale.
- Education et culture: éducation sexuelle à l’école ou toutes les sexualités se valent, ouverture de l’école aux lobbys, manuels scolaires, cours sur le gender (ex: à Sciences Po)
Infiltration dans le théâtre et le cinéma - Economie: codes d’éthique dans l’entreprise, quotas
- Religion: L’Eglise est le dernier bastion: création d’un « fonds de l’O.N.U. pour les populations« , afin de créer un partenariat entre culture et religion pour une approche « collaborative »: se comprendre pour éliminer les différences fondamentales
- Media, programmes de télévision : présentation /promotion de toutes les orientations sexuelles.
Illustrations
Quelques exemples de la manière dont le gender est mis en place à l’échelle mondiale sous couvert de compassion, de droits de l’homme et de développement économique.
Exemple numéro 1
Une volonté politique liée à la sécurité nationale des Etats Unis : discours de Madame Clinton secrétaire d’Etat le 8 janvier 2010 à l’occasion du 15ème anniversaire de la conférence du Caire (à l’époque son mari était président) sur la population et le développement :
« Souvenons-nous de ce que l’on attendait de nous. Que tous les gouvernements fassent de l’accès aux soins de santé et aux services de planning familial un droit fondamental. Le Congrès a récemment affecté plus de 648 millions de dollars d’aide aux programmes mondiaux de planning familial et de santé génésique. C’est la dotation la plus importante depuis une décennie….Il s‘agit de la sécurité nationale des Etats-Unis » fin de citation.
Derrière tout cela l’omniprésence du Planning familial qui est une ONG faut il le rappeler mais qui bénéficie de moyens énormes à travers l’USAID et autres programmes. Les intérêts financiers en jeu sont énormes. Aux Etats Unis le Planning Familial possède une chaîne d’avortoirs qui rapporte énormément d’argent.
Le programme de politique étrangère de madame Clinton se comprend comme une volonté d’imposer un nouveau droit fondamental aux pays alors que ce droit cache en fait une atteinte aux droits de l’homme. Tout homme a droit à la vie. Toute femme a droit à la maternité.
Sachez aussi que les ambassades américaines ont reçu des consignes pour susciter dans chaque pays la création d’ONG militants pour les droits des homosexuels. Cela fait partie de la mission civilisatrice des Etats-Unis.
Exemple numéro 2
Les jeunes
Un livret expliquant l’ONU à l’intention des lycéens comprend des exercices pratiques (Guide des Nations-Unies Printed at United Nations, Geneva-GE.95-03882-December 1995-5,000). Les jeunes sont une des cibles du changement des mentalités (par ex à la dernière conférence générale de l’Unesco 36/C d’Octobre 2011, les représentants du Forum
des Jeunes ont cité la discrimination par rapport au genre et à l’orientation sexuelle dans leur rapport).
«L’étude des rôles respectifs des femmes et des hommes consiste à analyser les fonctions de chaque sexe dans la société ; ces fonctions peuvent changer avec la société elle-même. Il est essentiel pour l’analyse de distinguer les fonctions de production des fonctions de reproduction, c’est-à-dire la production de biens et de services d’une part et la reproduction de la société de génération en génération de l’autre, et d’étudier les relations entre ces fonctions. Les deux ont autant de valeur et les femmes comme les hommes peuvent y participer. Les fonctions de reproduction étaient autrefois essentiellement attribuées aux femmes et les fonctions de production aux hommes. Ce clivage tend à s’atténuer mais les tensions sont loin d’avoir disparu. » Suit une liste de questions :
1 en vous appuyant sur votre expérience personnelle faites la liste des activités sociales de production et de reproduction, lesquelles sont exécutées par des femmes et lesquelles par des hommes ?
2 certains des rôles de votre liste sont-ils imposés ?
3 pourquoi y a-t-il des tensions quand les rôles imposés aux hommes et aux femmes commencent à changer ?
Voyez comment les notions de rôle imposé, de tension violence et de stéréotypes sont amenées insidieusement. Déconstruction-reformatage.
Cet exemple nous aide à comprendre la gymnastique intellectuelle de la théorie du gender, sa logique interne. Il s’agit de changer les mentalités et d’orienter les jeunes générations à une réflexion biaisée parce que basée sur le ressenti, sur une conception exclusive de l’économie (la reproduction est une fonction sociale) et partiale du progrès et une confusion entre l’objet et le sujet. Les hommes et les femmes ne se réduisent pas à des rôles.
Exemple numéro 3
L’Unesco
Nous avons choisi l’Unesco, parce que cette organisation est chargée de développer des programmes d’éducation, notamment en Afrique, dans lesquels est systématiquement intégrée la perspective du genre. .
Voici le discours prononcé par Madame Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco le 14 décembre 2010 à l’occasion du 65ème anniversaire de cet organisme :
« Pour avancer nous avons besoin de faire levier sur des points précis qui vont permettre la réalisation de nos objectifs. En tant que première femme à diriger cette organisation, je vois l’égalité des genres comme un de ces leviers. L’égalité des genres est essentielle pour accélérer le changement. »
Et dans son discours d’investiture, Madame Bokova évoquait également l’égalité des genres, les objectifs du millénaire pour le développement, ainsi que les engagements de la conférence de Pékin. Sur le site officiel de l’Unesco, l’égalité homme femme se trouve dans le chapitre « Egalité de genre». L’égalité homme-femme est donc devenue une sous- catégorie dans l’égalité des genres, les genres étant bien plus nombreux que les deux sexes. C’est une régression des droits de l’homme par rapport aux objectifs initiaux de l’Unesco. Cette stratégie mène à la disparition de l’identité de l’homme et de la femme en tant que tels.
L’égalité homme femme OUI mais l’égalité de genres NON
Exemple numéro 4
Monsieur Ban-ki-Moon
Monsieur Ban-Ki-Moon, le secrétaire général de l’ONU, (en janvier 2011) au Conseil pour les droits de l’homme à Genève, a soutenu les droits fondamentaux des personnes persécutées pour leur orientation sexuelle ou leur genre. La « persécution » en question étant par exemple le fait que les mariages entre personnes de même sexe ne soient pas autorisés par la très grande majorité des Etats. Ce procédé fait partie d’une stratégie qui vise à forcer les états à changer leurs lois nationales en dépit du fait que les résolutions de l’ONU n’ont pas de pouvoir contraignant juridiquement parlant (seuls les traités et les conventions qui ont été ratifiées sont contraignants mais la plupart des états se gardent bien de le faire). L’ONU cherche à faire jurisprudence et à changer les mentalités. Mais beaucoup d’états se plaignent de cette attitude et du fait que les lobbys communautaristes ont trop d’importance à l’ONU. En fait les termes de gender et de droit reproductifs sont toujours très controversés malgré ce que veut faire croire l’ONU. Par exemple à chaque fois que l’expression « droit reproductif » apparaît dans un texte, les pays qui sont contre l’avortement émettent des réserves qui sont ajoutées au bas du document.
Exemple numéro 5
Le cas de l’orientation sexuelle.
Nous attirons l’attention de toutes les associations et les organismes qui ajoutent en toute bonne foi, l’expression, « non discrimination selon l’orientation sexuelle » dans leur règlement ou leur charte.
Il y a de nombreuses orientations sexuelles comme la pédophilie, la transsexualité, le transvestisme, le fétichisme, l’autogynéphilie, le voyeurisme, l’exhibitionnisme, la zoophilie, le sadisme sexuel, le masochisme sexuel, la nécrophilie, la klismaphilie, la scatologie téléphonique, l’urophilie, la coprophilie, le partialisme, le désordre d’identité de genre, le frotteurisme.
Bien sûr, à l’heure actuelle, la pédophilie est punie par la loi mais aux Pays-Bas existait une association ouvertement pédophile et tout à fait légale : l’association Martjin, Pour mettre fin à ce scandale, il a fallu entreprendre une action avec des députés européens, qui a abouti à la dissolution de cette ONG scandaleuse. Voir notre site. En Allemagne existe une association ouvertement zoophile ! Le sado-maso devient banal et les médias commencent à présenter toutes sortes d’orientations sexuelles sans vergogne. Bientôt il sera illégal non pas de présenter la zoophilie aux enfants mais de la critiquer ! Attention ! Le lobby des marchands de sexe est très puissant.
Exemple numéro 6
Le rapport Munoz sur l’éducation
Le rapport sur l’éducation (rapport Munoz – ONU) contenait la reconnaissance des droits sexuels des enfants ainsi qu’une éducation obligatoire dès le primaire, aux différents comportements sexuels, pour lutter contre l’influence des parents jugée forcément partiale. Savez-vous qu’en Allemagne des parents qui ont refusé un cours d’éducation sexuelle, jugé pornographique par eux, ont été jetés en prison ? Les parents ont pourtant un droit fondamental à choisir le genre d’éducation pour leurs enfants. Voir notre lettre du …
Exemple numéro 7
Les objectifs du millénaire
Les OMD ou MDG (Millénium Development Goals) en anglais sont un outil puissant au service de l’intégration du gender dans les programmes mondiaux.
Nous vous rappelons que les OMD font suite à la Déclaration du Millénaire qui fut signée en l’an 2000 par 191 gouvernements au Sommet du Millénaire. Cette Déclaration, je cite, se « fonde sur les besoins des personnes et reconnaît le rôle clé que les femmes jouent dans le processus de développement. »
Extrait du site de l’ONU : Le Sommet sur les OMD de septembre 2010 s’est terminé avec l’adoption d’un programme d’action pour atteindre les huit objectifs anti-pauvreté d’ici à 2015 et l’annonce de nouveaux engagements pour la santé des femmes et des enfants, ainsi que d’autres initiatives pour lutter contre la pauvreté, la faim et les maladies.
Les objectifs du millénaire ont été rédigés comme une espèce de feuille de route (road map) pour la mise en œuvre de la Déclaration du Millénaire. Ils sont quantifiables, mesurables et assortis d’une date limite, 2015. Il y a 8 objectifs du millénaire et 48 indicateurs.
1. Réduire l’extrême pauvreté et la faim
2. Assurer l’éducation primaire pour tous
3. Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes 4. Réduire la mortalité infantile
5. Améliorer la santé maternelle
6. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies
7. Préserver l’environnement
8. Mettre en place un partenariat mondial pour le développement
Le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) offre une aide et un appui techniques dans beaucoup de pays, comme au Népal ou au Libéria, pour intégrer les droits de l’homme dans la planification du développement fondée sur les OMD.
Remarque de Femina Europa : les droits de l’homme-le développement-le droit à la santé reproductive-le droit à l’éducation sexuelle et l’autonomisation des femmes et des enfants : tout est lié comme dans un jeu de miroir. Tout se tient. Depuis l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne, la coopération au développement est devenue une compétence partagée de l’Union Européenne avec les Etats membres, et sa mise en œuvre est arrêtée par le Parlement européen et le Conseil, conformément à la procédure législative de codécision. L’UE – Etats membres e institutions européennes confondus- fournit environ 55% du total mondial de l’aide publique au développement, ce qui en fait de loin le premier bailleur de fonds aux pays en développement. Distribuée à plus de 160 pays territoires ou organisations, elle œuvre désormais à la réalisation des « Objectifs du Millénaire » des Nations Unies. Source : site Toute l’Europe.fr (rubrique « actions » puis « relations extérieures » et enfin « aide au développement)
Si on regarde attentivement les OMD on s’aperçoit que quatre au moins sont liés directement au thème du gender et au droit à la santé reproductive : la pauvreté, la santé des femmes, l’éducation, l’égalité des femmes, puisque la mise en place du gender (pas de discrimination selon l’orientation sexuelle, droit à l’avortement) est devenue une garantie de démocratie.
Il faut savoir aussi que les statistiques et les indicateurs sont manipulés sans vergogne pour arriver à réaliser les objectifs. (Voir plus loin le cas de l’étude Kinsey sur les pratiques sexuelles des américains). Comme le remarque la sociologue Evelyne Sullerot, le choix des études lui-même est déjà arbitraire quand on oublie systématiquement de s’intéresser à certaines catégories pour en privilégier d’autres (les familles monoparentales contre les familles nombreuses par ex).
Exemple numéro 8
Le rapport « Vivre ensemble du Conseil de l’Europe »
Ce rapport écrit par « d’éminentes personnalités » a été commandé par le Conseil de l’Europe et remis en grande pompe avec cérémonie officielle. Le mandat du groupe portait sur les risques que « l’intolérance croissante représente pour les valeurs du Conseil de l’Europe » et se
voulait comme une feuille de route à l’attention des parlementaires et des ONG. Grosse déception : c’est un exemple parfait de consensus mou et de langue de bois. Le premier groupe mentionné comme victime d’intolérance en Europe est le groupe LGBT. Ce rapport censé faire un état des lieux des acteurs de la société européenne ne parle pas du rôle de la famille dans la cohésion sociale et la transmission des valeurs et ne donne aucun crédit aux valeurs chrétiennes qui ont fondé l’Europe (la réconciliation par exemple), aucun modèle de famille, ni d’exemple lié à la culture chrétienne. On y présente comme modèles des personnes qui ne sont pas représentatives : des joueurs de foot ou des cinéastes musulmans par exemple ! Cet effacement de la culture, de l’histoire et de la réalité de notre continent européen est une falsification qui ne permet pas la prise de conscience nécessaire à toute action constructive. On ne bâtit rien de solide sur un mensonge d’un côté, et sur l’ignorance délibérée de l’autre, il s’agit là vraiment d’une discrimination.
Exemple numéro 9
Le rapport Kinsey : une imposture subversive qui cherchait déjà à déstabiliser.
A savoir aussi : l’imposture du rapport Kinsey publié aux Etats Unis en 1948 et 1953 qui eut un retentissement énorme et qui est encore utilisé par les chercheurs ! « Les Rapports Kinsey (Kinsey Reports en anglais) sont deux livres découlant des recherches du Dr. Alfred Kinsey sur le comportement sexuel humain : « Sexual Behavior in the Human Male » (1948) et « Sexual Behavior in the Human Female » (1953) traduits en français sous les titres Le Comportement sexuel de l’homme (1948) et Le Comportement sexuel de la femme (1954). Leur contenu étonna le grand public et prêta immédiatement à la controverse ainsi qu’au sensationnalisme. À l’époque, ils provoquèrent une polémique, certaines observations défiaient les croyances à propos de la sexualité humaine et discutaient de sujets tabous. Par exemple, certains témoignages publiés par Kinsey l’amènent à prêter à l’enfant pré pubère une sexualité génitale orgasmique comparable à celle de l’adulte. Dès la parution des ouvrages de Kinsey, des experts en statistiques et en psychologie ont affirmé que certaines données avaient été obtenues en interrogeant des délinquants et des pédophiles, accusations que l’institut Kinsey a d’abord contestées puis reconnues en 1995. L’institut Kinsey a alors admis que toutes les données statistiques sur ces « orgasmes infantiles » provenaient d’une seule source. Il s’agissait de la retranscription du journal de Rex King, pédophile ayant exploité sexuellement des enfants. » (Source Wikipedia)